Rechercher dans ce blog

jeudi 24 novembre 2016

DU SEXE, TOUJOURS DU SEXE

Et c'est reparti, DU SEXE, DU SEXE, DU SEXE !!!! selon les psykk, il y a du sexe partout, tout le temps, toujours, à toutes les étapes de la vie, 

Et puis encore une fois, les psykk appuient bien sur les termes avec leur vocabulaire idoine habituellement et régulièrement usité pour engendrer LA CULPABILISATION .

Le terme " contaminé " (par le sexuel) est encore une de ces stratégies des psykk pour mettre à l'index de manière défavorable des sentiments et émotions qu'ils supputent. Tout est perversion comme ils le disent si bien et il n'y a qu'un fil extrêmmement ténu entre cette passerelle que serait la psychologie et la psychanalyse.

Le diagnostic d'une mère vu par un psykk et vu par un psychologue loin, très loin de ces doctrines pourtant assurément assénées pendant ses études (pas le choix puisqu'en France, toutes les universités dispensent des cours de psykk, psychopathologie) et auxquelles l'étudiant n'a pas eu le choix de s'y confronter :

EXEMPLE DE DEUX POINTS DE VUE DIVERGENTS A PROPOS D'UNE MERE ET SON ENFANT RENCONTRES LORS D'UNE EXPERTISE PSYCHOLOGIQUE OU LORS D'UNE ENQUETE SOCIALE :
PSYKK :

la mère dans son désir inconscient d'érotisme va accaparer son enfant, sur lequel elle projette des sentiments ambigus, et va encercler l'enfant ( le cercle, le trou, le désir féminin, mais qui n'existe pas) en l'étouffant de baisers (il n'y a qu'un pas là encore pour saisir l'ambivalence du sujet sur cet autre sujet qu'elle s'approprie, nous ne sommes pas loin de l'inceste, bien que la mère s'en défende, mais elle n'est pas à même d'analyser ce que nous psykk faisons, excellant dans ce domaine de l'inconscient, la mère frôlant l'hystérie ne pouvant se retenir de cet acte qu'on pourrait même désigner d'acte auto-masturbatoire puisque cet enfant est le sien et vient de ses entrailles dont elle n'arrive pas à se détacher. Nous notons là donc un acte fusionnel inconsidéré néfaste au détachement dont l'enfant doit faire preuve, et ce, dès le plus jeune âge, nous notons également que cette mère n'arrive pas à couper ce lien pourtant indispensable à désunir en offrant ce sein (diabolique et sexuel) à l'enfant à la moindre de ces complaintes. 

Ce comportement où la mère se positionne en esclave vis-à-vis de cet être inférieur qu'est son enfant amènera indéniablement à une situation d'enfant-roi , celui-ci ne pourra plus réfréner ni ses pulsions ni ses frustrations. Nous pensons que cette mère a un fort pouvoir de toxicité envers cet enfant, ce dernier ne pourra jamais couper le cordon et grandira avec cette image phalliquement lourde de la mère en pleine jouissance de cet être qu'elle considère attribué à ses fantasmes (inconscients).

Cette mère se voulant fusionnelle va priver l'enfant de son MOI et nous nous risquons même à dire que la mère, insistant à donner le sein pendant cette consultation, prétextant que celui-ci attendait depuis trop longtemps dans notre cabinet, entamera probablement un jour une projection du syndrôme de Munchausen puisqu'elle a évoqué que l'enfant ayant faim, cela lui occasionnerait des crampes. Pire, après avoir bavé sur sa mère (l'enfant dans sa toute puissance) après ce salace festin, celle-ci a parlé de régurgitations, ce qui nous semble improbable au vu de la quantité ingérée goulûment (pour aspirer sa mère ?et se la faire sienne ?). Nous ne sommes ni pédiatres ni médecins mais notre GRANDE expérience vaut bien un tel diagnostic.

Pour ces motifs, nous préconisons de TOUTE URGENCE un placement pour le sujet X âgé de 18 mois qui d'un point de vue symbolique mais aussi physique est étouffé par une mère castratrice.


PAS PSYKK (psychologue, psychiatre, enquêteur social) :
Madame XX et son enfant X ont une une relation tout à fait harmonieuse et saine , c'est une maman qui s'investit pleinement dans son rôle de maman et donne toute la tendresse et l'amour incitant X à prendre confiance en lui qui favorise le sentiment d'estime de soi. Mme XX au cours de l'entretien rassurera X et ils partagerons des petits calins et bisous, X étant encore petit, ce maternage et cette proximité ne peuvent que lui être favorables. Nous notons une bienveillance particulièrement accrue lors de l'entretien, le petit X étant encore nourri au sein partiellement, en adéquation avec les préconisations de la LL (Leache League ) ou l'OMS. Mme X est à l'écoute de XX, bienveillante, et nous notons une complicité qui ne peut que nous conforter que cet enfant en restant avec sa maman grandira favorablement dans un contexte serein.
Pour ces motifs, nous demandons à ce que cette famille continue de grandir harmonieusement en ne laissant aucun doute sur les capacités maternelles de Mme X qui n'a besoin d'aucun suivi ni conseils en ce domaine, celle-ci étant engagée naturellement dans une éducation positive où sont exclues les privations, les punitions, les violences de toute sorte, mais au contraire dans une démarche d'empathie, de partage, de tolérance et d'amour.
Nous demandons donc que soit rejetés les demandes de placement , de suivi et d'AEMO formulées par les tierces personnes prétextant une maladie psychique de la mère (folie, hystérie, atteinte de bouffées délirantes, paranoïa, mythomanie).
Je vous laisse juger comment de telles délibérations peuvent influer sur la vie de toute une famille, d'un enfant. Ainsi va la vie chez un psychanalyste ou ceux répondant d'une telle doctrine, aucun remord, aucune remise en compte, un diktat influent en matière de justice puisque la majorité des experts sont psychanalystes, quand à parler de ceux rencontrant les familles lors d'enquêtes sociales, l'immense majorité n'a pas eu de formation, pas de diplôme requis, embauchés à la va-vite, non inscrits auprès de l'agence régionale de la santé, aucune déontologie, (quoique pour les psychologues, les textes s'y référant n'ayant aucune valeur juridique, c'est la porte ouverte à tous les abus puisqu'ils ne sont pas réprimandés par quiconque).
Les familles de France méritent-elles d'être sanctionnées par les abus de ces psykk et leur ingérence dans le corpus familial voire médical et médico-social ?
Voici le lien qui a généré cette publication, en particulier le second paragraphe de la page 5 :
http://www.fractale-formation.net/…/dejours-subjectivit%C3%…
Est-il utile de rappeler que ces théories ont pignon sur rue et engrangent des sommes d'argent considérables ? Voir le site de la CNAM qui dispense des formations fort coûteuses aux professionnels La disgression est monnaie courante en psychanalyse, et les idées qu'ils distillent sont dangereuses, d'où l'exemple plus haut.

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire